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Le mois de novembre est le moment idéal pour aller découvrir des pièces de théâtre, surtout lorsque le temps se fait plus triste. La rédaction d'atuvu.ca vous a concocté une liste de sept œuvres à aller regarder à Québec ou à Montréal.
Inspirée du roman de George Orwell, cette pièce de théâtre interactive destinée aux enfants de 7 à 12 ans fait participer les spectateurs et spectatrices de manière à ce qu’ils changent le cours de l’histoire.
Les animaux de la ferme décident de se rebeller contre les humains et de les chasser de celle-ci. Cependant, certains animaux aspirant à être « plus égaux que les autres » veulent reprendre la direction de cette ferme, risquant d’annihiler tout espoir pour une société plus égalitaire.
Avec une mise en scène d’Ophélie Kern et une interprétation de Jessica Jargot, la pièce intègre également des musiciens jouant en temps réel : Guillaume Grenard à la trompette, à la basse et au chant, ainsi que Mélissa Acchiardi à la batterie, au chant, aux percussions et au synthétiseur.

Une jeune fille morte d’une pneumonie se fait vendre son corps à la science par sa famille pauvre. Elle reste consciente de son entourage malgré son décès et doit assister, impuissante, à sa propre autopsie. Sans qu’elle puisse crier ou se sauver, le corps médical scrute, manipule, dissèque méthodiquement son cadavre.
Écrite en 1959 par Akira Yoshimura, la nouvelle La jeune fille suppliciée sur une étagère relate l’histoire de cette jeune fille de son point de vue interne. L’ouvrage aborde les thèmes de l’inégalité de classe et du corps des femmes. Une adaptation par Evelyne de la Chenelière et une mise en scène signée Cédric Delorme-Bouchard avec une distribution de Larissa Corriveau et de Jennyfer Desbiens.
Crédit photo : Stéphane Bourgeois
Cette adaptation par Maxime Robin de Hosanna et La Shéhérazade des pauvres de Michel Tremblay raconte l’histoire de Claude Lemieux, 75 ans. Interrogé par un journaliste du magazine Fugues, Claude le plonge — et l’auditoire avec — dans un souvenir douloureux : Claude, à 25 ans, un soir d’Halloween, costumé en Cléopâtre telle qu’incarnée par Elizabeth Taylor, puis moqué, humilié, blessé par ce qu’il croyait être ses amis.
La pièce de théâtre nous invite à nous demander comment les drag-queens, qui font aujourd’hui partie intégrante de notre culture, étaient perçues il y a 50 ans.
La pièce explore en une douzaine de vignettes la volonté d’agir de manière gentille, de parler de manière politiquement correcte, d’éviter les conflits. Et ce, à tout prix. Une œuvre mise en scène par Claude Poissant et écrite par François Archambault et Gabrielle Chapdelaine qui s’interroge sur jusqu’où nous pouvons aller pour conserver ce masque de bienveillance.
Le Théâtre du Rideau vert avait déjà ouvert sa saison 2024-2025 avec cette pièce, et elle revient cette année avec la même distribution.
Quatre femmes interprétées par Guylaine Tanguay, Claudine Mercier, Geneviève Charest et Catherine Sénart se rencontrent dans une vente de lingerie. Elles se découvrent un point commun entre elles, la ménopause, avec les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la libido imprévisible qu’elle implique. Un sujet encore tabou abordé avec humour par cette pièce de théâtre musical.
Cette œuvre a tourné dans des villes telles que Los Angeles et Paris ainsi que dans plus de 16 pays différents. Ménopause, qui a été mise en scène par Alexis Pitkevicht, sera présentée à la salle Pierre-Mercure à Montréal du 7 au 15 novembre puis à la Salle Albert-Rousseau, à Québec, le 19 et le 20 novembre. Plusieurs autres dates sont prévues à travers la province pour 2026.
La cinquantenaire Fanny a une vie de couple tranquille avec son conjoint, Dorian. Les deux amants cherchent à corser leur quotidien en hébergeant l’étudiante Alice. Mais la colocation ne se passe pas comme prévu. Plutôt que de les égayer, Alice, qui a un fort caractère, chamboule leur réalité avec ses prises de position féministes. Elles font réfléchir Fanny, anciennement militante féministe elle-même.
Écrite par Rébecca Déraspe et mise en scène par Marie-Hélène Gendreau et Hubert Lemire, cette pièce rappelle que les droits obtenus par le passé ne sont jamais acquis pour toujours et que la lutte continue.
Livre du philosophe Voltaire paru en 1759, Candide est une critique acerbe de l’optimisme naïf. Candide est un homme bon, un peu simple d’esprit qui se fait chasser du château du baron Thunder-ten-tronckh après avoir offert un baiser à sa fille Cunégonde. Le précepteur de Candide, le philosophe Pangloss, lui enseigne que « tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Or, lorsqu’il sort de ce château, Candide se retrouve confronté à des catastrophes naturelles et de l’injustice.
Adaptée et mise en scène par Hugo Bélanger, la pièce s’interroge sur la posture à adopter lorsque nous sommes confrontés à des événements qui nous dépassent.
Pour suivre l'actualité théâtrale des derniers et des prochains mois, consultez ce lien.
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