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Velours Velours dévoile ce 31 janvier Quand je pleure, je suis content via Bonbonbon, un premier album qui résulte de plusieurs réflexions internes. En entrevue, l’artiste s’est confié sur sa sortie et la création de cet opus mêlant « indie pop contemporaine et semi-orchestrale avec des sonorités 70’s ».
Velours Velours, c’est le projet que mène Raphaël Pépin-Tanguay depuis environ cinq ans. L'artiste arrive avec son premier album mené par un style indie pop, « qui a été fait impulsivement et instinctivement », déclare-t-il.
Lors de l’entrevue, Velours Velours explique que Fauve, son premier EP paru en 2022, parlait plus de la découverte de sa nouvelle vie à Montréal, « de l'exploration du vécu, des choses extérieures que j'emmagasinais à l'intérieur et que je mettais dans les chansons. »
« Je pense que [avec Quand je pleure, je suis content], c'est plus un vécu intérieur que j'extériorise dans la musique. » Selon l'artiste, il aborde la capacité à vivre ses émotions, d'être content, ou encore « d'être en vie et de vivre ça ». S'il considère l’album comme éclectique, il pense aussi qu'il dispose d’une certaine cohésion.
Il le décrit également comme très vivant, permettant ainsi à l’auditeur de se laisser emporter. « C'est de la musique qui est facile d'approche comme j'ai l'habitude d'en faire, mais qui est plus mature aussi que ce que je faisais avant. »
« Je sais plus où j'ai envie d'aller musicalement. En tout cas, dans cet album-là, je pense qu'il est quand même, au niveau du son, dans une continuité de ce que je faisais avec l'EP, mais quelque chose de mieux défini. Je pense qu'il y a plus de personnalité », explique Raphaël Pépin-Tanguay, qui ajoute avoir pris de l'expérience et que, dans l'aspect de prise de maturité, ce qui entre en jeu, c'est qu’il se connaît plus, et qu’il connaît plus les personnes avec qui il travaille.
« Il y a la participation du réalisateur aussi, Christophe Charest-Latif, qui a été game changer dans cet album-là. Son regard, j'allais dire extérieur, mais qui est quand même très intérieur au processus finalement, nous a beaucoup servi à nous défier », confie-t-il.
« [Les chansons] ont un peu chacune leur univers. Je ne saurais pas comment qualifier le style de cet album-là, mais c'est quand même évolutif. [...] Il n'y a pas beaucoup de refrains, mais je pense que c'est un album de thèmes, de mélodies fortes, de sensibilité. »
Quand je pleure, je suis content est un album parfois un peu plus indie pop, parfois un peu plus mélancolique, où chaque chanson est dotée de son propre univers, et de sa propre durée. Dans cet opus composé de neuf chansons : la plus courte, L'intro, est de 1 minute 43 et la plus longue, Parc des Compagnons, de 6 minutes 45.
Pour l’artiste, ce choix de durée résulte plutôt des chansons que de lui-même.
« Je pense que je laisse un peu les chansons parler d'elles-mêmes. Je n'ai pas comme un mode d'opération, j'ai pas une méthode qui est la même pour chaque chanson. Je me laisse un peu aller là-dedans instinctivement », ajoute-t-il.
Pour Corde à linge qui est de 6 minutes 20, il raconte l’avoir écrit lorsqu’il faisait de la plonge dans un restaurant. « J'avais tout le temps des idées qui roulaient, pis à chaque fois, je m'en allais un peu dans la salle des employés enregistrer un peu dans mon téléphone », se souvient-il.
Dans le cas de Yeah, Velours Velours explique qu’elle vient d’un jam : « ça n'avait pas besoin d'être plus long que ça. En show, ça va être plus long, mais en album c'est quand même différent. Je pense que c'est une question de pertinence. »
De tout Quand je pleure, je suis content, Velours Velours, c’est du titre La fin, dont il est le plus fier. « Je trouve que c'est vraiment réussi comme vibe. Il n'y a pas beaucoup de texte, mais je suis vraiment content de ce texte-là. J'aime la chanter, j'aime ce que ça me permet comme interprétation. Je trouve que c'est une toune qui a beaucoup de personnalité, avec l'utilisation du drum machine aussi. »
En ce qui concerne l’avenir, Raphaël Pépin-Tanguay se réjouit d’interpréter cet album en concert. Au moment où nous parlons, il exprime déjà son enthousiasme quant à son impact avant sa publication.
« J'ai hâte que ça fasse assez longtemps qu'on le traîne pour que j'aie envie de le réécouter et de reconstater le travail qu'on a fait et de faire comme “Ah yeah, c'était vraiment super” », conclut-il.
Quand je pleure, je suis content de Velours Velours est maintenant disponible sur toutes les plateformes.