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Pour le mois de novembre, atuvu.ca vous invite à découvrir sept nouvelles parutions de livres qui sauront plaire à tous les types de lecteurs. Romans, mémoires, bandes dessinées et autres découvertes vous attendent pour accompagner vos lectures automnales et élargir vos horizons littéraires.

Les amateurs de bande dessinée pourront découvrir Crue, une nouvelle création signée à deux par Claude Paiement et Jean-Paul Eid, qui ont déjà collaboré sur les albums Memoria et La femme aux cartes postales.
Le dernier long métrage de Germain Cliche se retrouve finaliste pour l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. Cependant, le cinéaste de renom, personnage central du Québec moderne, figure également sur une autre liste tout aussi fracassante. Crue donne voix aux non-dits et aborde le prix du silence, tout en évoquant les réflexions soulevées par le mouvement #MeToo.
Jean-Paul Eid et Claude Paiement seront en dédicaces lors du Salon du livre de Montréal au kiosque De la Pastèque.

Aux éditions Robert Laffont, Margaret Atwood dévoile ses mémoires avec Le Livre des vies : Mémoires écarlates. Dans ce livre, l’écrivaine canadienne retrace son parcours, de son enfance au milieu de la forêt sauvage du nord du Québec à sa rencontre avec l'écrivain G. Gibson. Elle évoque également les événements clés de sa vie, y compris les livres qu'elle a écrits, comme La Servante écarlate.
Margaret Atwood est à l’origine d’une quinzaine de romans, dont Œil-de-chat (1988) et Les Testaments (2019), suite de La Servante écarlate et son roman le plus récent. L'autrice, qui approche les 87 ans, s’est également illustrée dans la poésie grâce à plusieurs recueils, mais aussi par le biais de nouvelles, d’essais et d’albums jeunesse.

Le roman d’Antoine de Saint-Exupéry, Terre des hommes, ressort chez les éditions Gallimard avec, cette fois, des illustrations de Riad Sattouf qui accompagnent le texte. Celui qu’on connaît pour Les cahiers d'Esther ou encore L'arabe du futur propose ici une lecture améliorée visuellement « de ce texte fondateur qu'il ne cesse de relire depuis l'adolescence ».

Michel Langlois, qui est à l’origine des sagas historiques La Force de vivre, Ce pays de rêve, Il était une fois à Montréal ou encore Le temps de le dire, présente cette fois L'enfant trouvée, un roman contemporain qui retrace l'histoire d’un veuf solitaire vivant en ermite qui finit par recueillir une fillette retrouvée seule et endormie dans un champ. Il décide de la garder auprès de lui tout en cherchant à percer le secret qui l’entoure alors qu'il noue progressivement des liens avec la jeune fille qui l'appelle « papi ».

Aux Éditions du Parc en face, Marilou Ethier signe une « romantasy québécoise », contraction de romantic fantasy, avec « La nuit des vices », le premier tome d’une saga intitulée Astrid. Dans celle-ci, le personnage d’Astrid cherche à rembourser la lourde dette que son père a laissée à l’organisation criminelle des Carnassiers, maîtres du plus vaste marché noir d’artéfacts magiques d’Etheria. Comme voleuse à gages sous contrat, elle n’a droit ni à l’erreur ni à la liberté, du moins pas avant d’avoir accompli les cinq cents vols auxquels elle a souscrit.
« Et si sa liberté n’était pas à voler, mais bien à choisir ? »

Valérie Chevalier arrive avec un neuvième roman intitulé Antoinette. Antoinette n’est pas à la recherche d’amitiés ou d’amours, et préfère rester dans sa bulle de solitude, jusqu’au jour où Inès et Viviane entrent dans sa vie, faisant naître une nouvelle amitié et de nouvelles perspectives. Un roman qui aborde les thèmes de la solitude, de l’affirmation de soi, de l’amitié et de la sororité, écrit de manière originale au « tu ».
« Tu es née Antoinette, avant même que les prénoms Henri et Louise reviennent à la mode. [...] Tu n’as jamais aimé les débordements, ni ceux des rivières ni ceux des émotions, encore moins ceux qui ont trait au coloriage. Tu as toujours préféré moins que plus, et ton prénom ne pouvait pas davantage incarner l’opposé de cette inclination. Tu aurais voulu d’un nom qui disparaisse. »

Dans son nouveau roman, Le M Club, Patrick Sénécal présente les personnages de Brandon Cusson et Philippe Corriveau, deux grands amis qui sont également écrivains. Ils s’envolent pour deux semaines à Berlin, dans le cadre d’une retraite d’écriture afin d’avancer sur leur livre respectif, mais aussi pour faire la fête.
Après quelques soirées bien arrosées, une rencontre dans un bar glauque les met sur le chemin d’un « club privé hyper sélect ». Brandon accepte l’invitation, mais Philippe est beaucoup plus réticent jusqu’à ce qu’une vieille promesse resurgisse.
« Après tout, il a toujours fait confiance à Brandon et rien de mal n’est jamais arrivé, n’est-ce pas ? »
L’auteur, également à l’origine de 5150, rue des Ormes (1994), Aliss (2000), ou plus récemment Civilisés (2024), sera d’ailleurs en séance de dédicaces pour Le M Club au kiosque Alire lors du Salon du livre de Montréal 2025.
Les dates de publication peuvent être sujettes à des changements. Pour plus de détails, consultez les sites des maisons d’édition. Retrouvez nos suggestions des mois précédents ici.
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