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Le Carrefour des Arts de la Scène et de l’Entrepreneuriat (CASE) est un centre de formation offrant de précieux outils pour aider les artistes et travailleurs culturels à se lancer et à évoluer dans l’industrie. Alors que la prochaine session de « Représentation et production artistique » commence le 26 février prochain, nous avons échangé avec l’enseignant, aussi ex-avocat en droit des artistes, conférencier et auteur Hubert Mansion pour mieux comprendre les grandes lignes, les objectifs et les défis propres à son programme.
Le parfait parcours du formateur
Avant d’être enseignant au CASE, Hubert a œuvré comme avocat en droit des artistes et a eu la chance de faire un tour de table de tous les métiers de l’industrie culturelle. En plus d’être au fait du côté du business juridique, il a aussi été du côté de la création en écrivant des chansons. C’est sûrement cette polyvalence, et cette faculté à se mettre dans la peau de chaque intervenant culturel, qui font de lui la personne toute désignée pour assurer la formation de « Représentation et production artistique » au CASE.
« Je connais aussi bien le monde des artistes que les attentes du milieu professionnel. Les artistes voient que je les comprends très bien, eux et leur façon d’être. Ils se font une montagne du milieu extérieur et de l’industrie culturelle, il faut donc une réconciliation entre eux et les autres acteurs du milieu pour qu’ils puissent vivre de leur art », explique notre interlocuteur.
Un cours aux multiples facettes
Le but de la formation donnée par Hubert Mansion est de permettre aux étudiants de faire un métier de leur art. Comme il le constate, « les artistes ont une grande connaissance de leur discipline, mais peu ont les outils pour "faire-savoir" leur art. Ce n’est pas enseigné dans les écoles et les universités, ils sont donc démunis et cherchent dans des programmes tels que le marketing, sans s’y retrouver. Je veux proposer un pont entre le talent et le développement de carrière. »
Pour réussir son objectif, l’enseignant transmet aussi bien des connaissances théoriques que pratiques. Il n’hésite pas, pour cela, à initier une véritable introspection et quête intérieure avec ses élèves. Il les amène à comprendre qui ils sont, et comment ils sont perçus par le public. « "Que pensent les gens de moi?" est une question à laquelle on n’a jamais vraiment de réponse, car les amis et connaissances ont une vision biaisée. En toute objectivité et toute franchise, ils apprennent dans mon cours comment ils sont perçus, comparé à la façon dont ils voudraient être perçus ou encore comment ils croient qu’ils sont perçus. Il faut briser le manque de cohérence entre ce qu’on croit véhiculer et ce qu’on véhicule réellement. »
À savoir, le cheminement se fait aussi par le biais de conversations et d’échanges de problématiques entre les élèves eux-mêmes. Hubert considère qu’il est, d’une certaine façon, leur accompagnateur : « En fait, je suis comme un guide de haute montagne et les élèves adorent aller en profondeur dans toute une série de concepts. C’est un grand parcours pour comprendre ce qu’ils font et ce qu’ils veulent faire, en allant tout en haut de la montagne. »
Être prêt aux changements
À chaque nouvelle session qui débute, Hubert Mansion tient à prévenir ses étudiants : « Si vous cherchez une boîte à outils au CASE, allez plutôt chez RONA! » Cette phrase choc annonce la couleur de la formation, car le parcours s’annonce mouvementé et riche en émotions avant d’atteindre les objectifs visés. « À quoi servent les outils si on ne sait pas s’en servir? Je tiens à leur transmettre un savoir-faire pour évoluer dans le milieu culturel: la gestion du temps pour les artistes, l’art du réseautage et ses stratégies, mais aussi la négociation de contrats et les technicalités du droit d’auteur », nous précise l'enseignant. Et les évolutions sont d’ailleurs, paraît-il, incroyables et complètes. On voit des changements physiques, mais aussi intérieurs, qui peuvent aller jusqu’à la révélation pour un élève qu’il n’évolue pas dans le bon environnement. « "Ce n’est pas une formation, c’est une transformation!", disent mes élèves. »
Alors, artistes ou intervenants culturels, si vous êtes convaincus que vous trouverez votre bonheur dans le cours d'Hubert Mansion et que vous n’avez pas peur d’être confrontés aux défis, inscrivez-vous sans plus tarder pour la prochaine cohorte du 26 février. Pour cela, il vous suffit de consulter le site internet du CASE en cliquant ici.