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Après une première sélection des prochaines pièces à voir à Montréal dans plusieurs théâtres de la ville, atuvu.ca vous propose 6 autres pièces pour le mois de janvier.
Dans ce huis clos présenté comme sensible et haletant, Bénévolat aborde des questions concernant les inégalités sociales, la justice, l’éducation et les relations hommes-femmes. La mise en scène de Rose-Anne Déry d’après le texte de Maud de Palma-Duquet expose deux personnages contrastés et complexes qui permettent à l’auteure de déjouer les stéréotypes et de poser un regard jamais moralisateur sur des enjeux cruciaux.
Le résumé :
Toutes les semaines, Amarillys rend visite à Anthony, détenu pour meurtre dans un pénitencier. L’étudiante universitaire en sciences, rigoureuse et pragmatique, offre bénévolement des ateliers de français au jeune prisonnier, plutôt loquace et impulsif. Tout sépare le duo de protagonistes, et pourtant, entre deux règles grammaticales, leurs univers devront se rencontrer, se découvrir et s’apprivoiser.
Cette œuvre écrite sur cinq ans par l’auteure britannique Lucy Kirkwood explore les relations complexes et changeantes entre les États-Unis et la Chine et les contrastes culturels que l’on peut observer. Chimerica, une contraction de « China » et « America », gravite autour du massacre de la place Tiananmen en adoptant également une trame fictive riche en rebondissements.
Le résumé :
Au deuxième jour de la répression sanglante de la place Tiananmen, juste avant que des soldats du régime chinois ne forcent la porte de sa chambre d’hôtel, le photojournaliste américain Joe Schofield capture un morceau d’histoire: le moment où un homme seul se dresse devant la colonne de chars qui traverse Beijing. Son visage n’est pas visible; son identité et son sort demeurent un mystère. Immortalisée le 5 juin 1989, cette image captivera le monde. Vingt-trois ans plus tard, Joe Schofield apprend que le tank man est toujours en vie et qu’il se trouverait en Amérique. Mettant en péril sa carrière, ses relations et son éthique, il s’engage dans une quête obsessionnelle pour retrouver ce héros inconnu.
Crédit photo : Mélanie Whissell
Dans cette pièce aux allures de musée et de laboratoire, le public est invité à un voyage vers l’infiniment petit, le tout avec humour et poésie visuelle. La rébellion du minuscule est un théâtre d'objets qui explore la physique quantique et l’univers qui l’entoure.
Le résumé :
Complexe et paradoxale, la physique quantique est parfois frustrante dans son incompréhensibilité. Or, elle est le cœur, souvent étrange ou dérangeant, mais essentiel, de notre monde. La rébellion du minuscule entraîne le spectateur à l’intérieur des atomes qui composent tout ce qui nous entoure, où les règles du jeu sont en contradiction avec notre expérience quotidienne du monde.
Dans ce spectacle, les œuvres d’art se construisent en direct et la magie low tech des images amplifie le vertige entre savoir et inconnu, certitude et vide, lumière et matière.
Entre ombre et lumière, dystopie et utopie, Membrane met en place six interprètes et creuse avec humanité les notions d’identité et de libre arbitre. La pièce, adaptation de Cédric Delorme-Bouchard du premier roman de science-fiction queer en langue chinoise, écrit en 1995 par l’auteur taïwanais Chi Ta-wei, présente un univers futuriste qui amène à une question : qu’est-ce qui définit l’être humain?
Le résumé :
« La question de ce qui est humain et de ce qui ne l’est pas reste ouverte. »
Enfant, Momo a contracté un grave virus l’obligeant à vivre durant trois ans en isolement, dans une bulle aseptisée. De multiples transplantations d’organes artificiels lui ont sauvé la vie, bien que l’expérience traumatisante ait érodé sa relation avec sa mère. Momo a pu devenir malgré tout une esthéticienne prisée, la seule à offrir de prodigieuses et mystérieuses membranes invisibles qui protègent la peau et magnifient l’existence. À la veille de son trentième anniversaire, elle s’apprête, remplie d’appréhensions, à revoir sa mère pour la première fois depuis vingt ans. Des retrouvailles qui éclaireront son passé et chambouleront son avenir.
Dans Papeça, Micha Raoutenfeld, artiste queer et non binaire, porte un seul sur scène où danse, théâtre et musique amènent un récit initiatique trans qui s’inspire des mythes et de l’intangible afin d’explorer l’intuition et la puissance désirante.
Le résumé :
Seul sur scène, un être venu d’ailleurs se construit et se déconstruit sous nos yeux. À Moscou, c’est le règne de la honte, le silence est roi et les stations s’enfilent sur une route mille fois empruntée et sans issue. Entre le rêve et la réalité, entre ici et là-bas, iel tente de comprendre les codes qui dictent son existence. Une quête depuis longtemps annoncée le mènera en Sibérie où le sol gronde et le brouillard anéantit.
L’éveil du printemps, adaptation de David Paquet librement inspirée de l’œuvre de Frank Wedekind et mise en scène par Olivier Arteau explore les grands thèmes entre découvertes et éveil sexuel : sexualité et interdit, domestication et liberté, afin d’en faire éclore de tout nouveaux bourgeons.
Le résumé :
Leur jeunesse n’a d’égal que leur désir d’être et d’aimer. À l’école ou à la maison, elles ou ils ou iels tentent maladroitement de décoder leurs pulsions naissantes ou débordantes. Moritz, Wendla, Melchior, Martha et Otto se butent au silence assourdissant qui entoure leur éducation sexuelle. Leurs fantasmes peuvent-ils être criés au micro de la radio étudiante ? Assumés en plein jour ? S’incarner à la corde à danser ou dans une fusée Amazon ? Par-dessus leurs épaules ou leurs claviers, les adultes se font du sang d’encre et balbutient leur propre libido. Dans la forêt avoisinante, la nuit condense la sève adolescente, elle amplifie les peurs sourdes et les libertés inassouvies.
N’hésitez pas à consulter notre premier article des pièces de théâtre à voir en janvier pour encore plus de choix. Pour aller encore plus loin, atuvu.ca est le diffuseur de l’émission d’actualité théâtrale Admission générale. Visionnez dès maintenant le plus récent épisode qui revient sur le calendrier théâtral de décembre et de janvier.