Profitez d'invitations gratuites et de rabais exceptionnels!
Vous êtes un passionné de spectacles...
Vous aimez faire découvrir à votre entourage des nouveautés ou des artistes...
Profitez d'invitations gratuites et de rabais exceptionnels!
Vous êtes un passionné de spectacles...
Vous aimez faire découvrir à votre entourage des nouveautés ou des artistes...
Inscrivez-vous maintenant, c'est gratuit!
La série « Plaisirs gourmands » met en lumière le lien étroit qui unit la cuisine à la culture, à travers différents portraits, entrevues et suggestions gourmandes.
Cuisinier hors-normes, l’infatigable chef Antoine Sicotte est constamment à la recherche de nouvelles saveurs. Suite au succès de son livre Le Cuisinier rebelle en feu, un deuxième tome est déjà en préparation pour l’été 2016. On peut également voir Antoine sur les ondes de Zeste à la tête de 2 émissions et il sera sur le Canal Évasion à la rentrée. Le Cuisiner rebelle s’est entretenu avec atuvu.ca à l’occasion du concours Faites-nous une saveur de Lay’s dont il est le porte-parole depuis maintenant trois ans.
Tu te dis autodidacte, comment s’est développé ton amour pour la bouffe et la cuisine?
Le premier "spark" s'est fait assez jeune. Après la séparation de mes parents, je me souviens que lorsqu'on allait chez mon père, mes frères et sœurs et moi, il était passionné de bouffe. La cuisine, c'était avant tout une activité familiale.Je me souviens que très jeune, mon père m'apprenait comment faire la pâte à pizza, des sauces... il aimait surtout la cuisine italienne. Plus tard, j'ai travaillé longtemps dans le milieu de l'hôtellerie. C'était mon travail de jour, parallèlement à ma carrière de musicien. Je travaillais aux côtés de chefs, dans de grands restaurants. Ce fut une période très formatrice pour moi.
Quand j'ai finalement percé en musique et que mon groupe (la formation Sky) s'est mis à faire des tournées, j'ai aussi pu goûter aux marchés locaux et découvrir de nouvelles saveurs qui ont inspiré par la suite mes ouvrages de cuisine. C'est d'ailleurs un peu pourquoi je participe au concours Faites-nous une saveur de Lay's : la possibilité que les gens ont de pouvoir créer leur propre saveur, leur propre mélange, que tout le monde puisse être créatif et se prêter au jeu.
Parlant du concours Faites-nous une saveur de Lay's, pourquoi avez-vous décidé d'en devenir le porte-parole?
Année après année - ça fait maintenant 3 ans que je suis porte-parole du concours - je vois qu'on se concentre de plus en plus sur les saveurs canadiennes, en plus de ce que les gens découvrent à travers leurs voyages, d'un océan à l'autre.
Le concours a reçu presque 1 million de suggestions (!), ce qui a donné 4 résultats qui représentent bien les 4 grandes régions du Canada. Pour l'Ouest canadien, on a les chips Fèves aux lards BBQ style cowboy pareils à un rodéo en bouche. Au Québec, on a évidemment la typique Viande fumée, tandis que le côté multiculturel de l'Ontario ressort avec le parfum du Poulet au beurre. Finalement, la saveur Gratin dauphinois de l'Île-du-Prince-Édouard met en valeur la pomme de terre, un ingrédient phare du terroir de la région.
Les gens de chez Lay's ont trouvé 4 finalistes, c'est maintenant au grand public de déguster et de voter sur les médias sociaux pour la grande saveur gagnante jusqu'au 30 septembre.
En parlant de création, explique-moi le processus créatif derrière la conception d'une recette, voire d'un livre en entier. Étant musicien de formation et photographe, crois-tu qu'il ressemble à la composition d'une œuvre artistique? Est-ce que l'écriture d'une chanson par exemple se compare à la création d'une recette?
L'aspect essentiel, que ce soit dans la création d'une recette ou dans la composition de musique,c'est l'équilibre. Il y a des fondamentales qui doivent se retrouver en bonne quantité. Si on compare ça à un mix de musique, ça nécessite une série d'instruments, le clavier, la batterie, la voix, etc. Si l'un des éléments est trop à l'avant, le résultat ne sera pas intéressant. C'est la même chose pour un repas. S'il y a une bonne balance entre l'acide, le salé, le sucré et le gras, l'expérience sera agréable une fois en bouche.
Tu sembles être bien inspiré, puisque tu planches présentement sur une foule de projets, dont le deuxième tome de ton livre Le cuisinier rebelle en feu. Comment ça se passe?
Je suis actuellement en plein dans le shooting du livre qui devrait être publié d'ici ce printemps. Avec mon premier livre de grillades (Le premier tome du Cuisinier rebelle en feu), j'ai priorisé les recettes rapides mais toujours pleines de goût. Ça se voulait spontané, avec une influence world. Cette fois-ci, je souhaite faire évoluer mes lecteurs vers des projets plus longs, à essayer durant la fin de semaine puisqu'ils demandent plus de temps. Je tiens entre autres à démystifier la cuisine au fumoir, pour les gens qui veulent en faire mais qui ne savent pas par où commencer. Je continue tout de même de proposer des plats rapides et pratiques, dont plusieurs pour l'heure de l'apéro, pendant que les grillades cuisent sur le BBQ. Ce sera un ouvrage parfait pour l'arrivée du printemps et des terrasses.
Étant un grand amateur de chips, tu as entre autres une recette de tataki de bœuf et chips dans ton dernier livre de recettes. Comment aimes-tu cuisiner les chips habituellement?
Oui, je l'ai refait avec les chips à saveur de Viande fumée de Montréal, les finalistes du Québec. Avec des câpres, de la moutarde à l'ancienne et des cornichons des câpres, de la moutarde à l'ancienne des cornichons et une petite vinaigrette tartare, les chips remplacent bien les croûtons qui vont habituellement avec le tataki de bœuf. Les chips font également une excellente panure grâce à leur texture croustillante. Les croustilles sont synonyme de célébration pour moi, un plat que tu mets au centre de la table en famille ou entre amis. Les anglais ont une bonne expression pour ce genre de nourriture, comfort food.
Si tu peux te prononcer à ce sujet, as-tu une préférence personnelle pour l’une des 4 saveurs finalistes du concours?
Les chips à la Viande fumée de Montréal ont définitivement piqué ma curiosité. J’ai aussi aimé la saveur de Poulet au beurre, très douce en bouche.
Après avoir reçu près de 950 000 idées de saveur, Lay’s Canada a dévoilé récemment les quatre saveurs finalistes pour l'édition 2015 du concours Faites-nous une saveur, édition Saveurs du Canada :
CONCOURS « FAITES-NOUS UNE SAVEUR »:
Les Canadiens peuvent voter pour leur saveur préférée entre le 11 août et le 30 septembre. Voir les détails sur le site Lays.ca/Saveur
Le gagnant du concours se méritera un grand prix de 50 000 $, en plus de recevoir 1 % sur les ventes futures de sa saveur préférée (après la période de vote).
Les nouvelles saveurs seront offertes à l'échelle nationale dès le début du mois d'août pour une durée limitée dans toutes les bonnes épiceries. À vos papilles gustatives!