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Au Québec, le talent de la relève artistique francophone ne manque pas… et il demeure important que des institutions continuent de relayer la création musicale à tous les spectateurs et amateurs de chansons en langue française. Le concours Chante en français, qui vient d’ouvrir les inscriptions pour 2018, fait partie des tremplins majeurs pour ces jeunes auteurs-compositeurs-interprètes. Alex Nevsky, Faubert, Klô Pelgag, Sara Dufour, Sarah Toussaint-Léveillé et la dernière gagnante en date Andy St-Louis… Tous y ont tenté leur chance ! Découvrez l’histoire et l’évolution de cette compétition avec le directeur administratif Gérard Boulonne, en plus de quelques anecdotes croustillantes concernant la 16e édition…
Passion et générosité à l’origine de Chante en français !
Depuis 2002, le concours se tient annuellement grâce à la fondation Do-Mi-Sol et, tout particulièrement, le travail de trois personnes : Raoul D. Gadbois, Manuel Maître et Gérard Boulonne. Ce dernier nous explique que M. Gadbois « a décidé de mettre en place un concours de chant populaire pour les jeunes, en mémoire de son frère » qui était l’abbé Charles-Émile Gadbois, surnommé « Le père de La bonne chanson » au Québec. Pourquoi ce surnom ? Tout simplement parce qu’il s’est battu pour faire connaître des chansons folkloriques ou populaires importées de France, afin qu’elles soient enseignées dans les écoles de la Belle Province – l’idée étant de faire connaître l’œuvre musicale francophone sur le continent nord-américain. C’est ainsi pour rendre hommage à cet abbé militant que Chante en français a vu le jour et lancé sa première édition… quelques jours seulement après le décès de Raoul D. Gadbois, alors qu’il avait placé de l’argent pour assurer les prix des gagnants pendant 20 ans.
En somme, c’est la passion de l’abbé pour la chanson et la langue française, couplée à l’initiative et le mécénat généreux de son frère Raoul, qui a mené à la naissance de cette grande compétition artistique.
Un incroyable propulseur de talent au Québec
La singularité de Chante en français s’explique par des prix remis en argent, contrairement à beaucoup d’autres concours qui proposent une aide non-monétaire, comme le souligne M. Boulonne. « Cet argent, certains l’utilisent pour s’acheter des instruments, d’autres pour faire des démos ; et on voit qu’ils en font bon usage ! Par exemple, Alex Nevsky, dès qu’il a gagné, s’est servi de ce prix pour finaliser son album », ajoute notre interlocuteur. Ainsi dans la catégorie auteur-compositeur-interprète, deux prix (l’un de 3000 $, l’autre de 2000 $) sont offerts, tandis que dans celle de « La bonne chanson revisitée » (où il faut se réapproprier une œuvre de ce répertoire caractéristique populaire ou folklorique), les récompenses sont de 2000 et 1000 $. Enfin, un prix « Coup de cœur du public » d’une valeur de 1000 $ est aussi décerné.
Alors que M. Boulonne se remémore avec émotion les particularités de chacun des gagnants, et notamment celles de Klô Pelgag – qui était selon lui une réelle surprise de par son style unique et distinctif, il ajoute : « Nous nous considérons vraiment comme le concours "Coup de pouce", on veut donner une chance aux jeunes qui ont du talent ».
Une 16e édition attrayante et tout à fait particulière !
Après deux années consécutives où les 2Frères ont assuré la mission de représentants pour Chante en français, leur successeur pour cette 16e édition n’est autre que le talentueux Alexandre Désilets. Avec enthousiasme, le directeur administratif du concours nous confie : « Nous n’avons pas eu de mal à le convaincre ; il a tout de suite été intéressé, et ça va donc être notre porte-parole pour cette année » ! Un autre petit changement va aussi voir lieu pour 2018 : la finale se tiendra au Théâtre Plaza, contrairement aux années précédentes où elle était présentée à la Salle Jean-Eudes de la Maison de la Culture Rosemont-La Petite Patrie. L’ambiance fera davantage penser à celle d’un bar, d’un cabaret où les gens pourront boire des consommations dans une atmosphère « un peu plus sociale », nous explique M. Boulonne. Aussi tout au long du concours, des ateliers seront offerts en parallèle à tous les participants – sélectionnés ou non – pour mieux percer les secrets de l’industrie musicale.
Artistes de la relève 2018 : à vos marques… Prêts ? Partez !
Vous avez votre propre projet musical en français ? Ou bien, vous êtes le roi de la reprise et pensez pouvoir revisiter le répertoire de « La bonne chanson » comme personne ? Vous avez entre 18 et 35 ans et n’avez encore signé avec aucun label ou maison de disque ? N’attendez plus! Vous avez jusqu’au 2 avril 2018 pour envoyer votre candidature ici. N’oubliez pas de joindre vos paroles et vos démos au format mp3! Aussi, demeurez disponible les 24 et 26 avril (dates correspondant à la demi-finale et à la finale de cette 16e édition).
Qui sait, peut-être serez-vous le grand gagnant de cette année, succédant aux nombreux autres talents qui ont depuis percé et affirmé leur créativité sur le devant de la scène francophone au Québec, mais aussi ailleurs au Canada voire à l’international… Pour plus d’informations, n’hésitez pas à visiter le site de Chante en français, en suivant ce lien.