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Le Festival du nouveau cinéma étant bien entamé, et afin de poursuivre notre série d'articles sur nos propositions cinéma durant le FNC, voici des idées de longs-métrages en provenance de l'Allemagne, de la Belgique, des États-Unis, du Japon et des Philippines à voir en début de semaine.
Toni Erdmann
Lancé lors du dernier Festival de Cannes, plusieurs critiques et festivaliers lui prédisaient la Palme d’or qui est finalement allée à Ken Loach. L’histoire de ce film tourne autour d’Ines (Sandra Hüller), une Allemande carriériste vivant une vie rangée à Bucarest. Son quotidien est chamboulé lorsque son père, Winfried (Peter Simonischek), un indéfectible farceur, débarque pour lui rendre une visite surprise.
Si Toni Erdmann n’a pas reçu le convoité laurier cannois, il est tout de même reparti avec le prix FIPRESCI de la critique internationale et le cœur de public. Il faudra surtout voir cette production allemande pour l’humour sincère que la réalisatrice Maren Ade a su insuffler à l’histoire et, aussi, pour le duo comique que forment Sandra Hüller et Peter Simonischek.
Lundi, le 10 octobre à 16h au Cinéma du Parc
Gimme Danger
Un film de Jim Jarmusch c’est toujours un petit évènement. Cette fois-ci, c’est Gimme Danger qui risque de capter l’attention des festivaliers. Jarmusch délaisse la fiction et propose un documentaire à propos d’Iggy Pop et son groupe, The Stooges. Depuis leur formation dans les années 60 jusqu’à leurs retrouvailles en 2003 en passant par le départ d’Iggy en 1974, Jarmusch montre les hauts et les bas de ces vétérans du rock.
Gimme Danger est un documentaire réalisé par un véritable fan des Stooges. Jim Jarmusch a effectué une entrevue exclusive avec Iggy Pop et a assemblé des images d’archives captivantes afin de plonger le spectateur dans l’univers disjoncté qui caractérise le célèbre groupe de rock. Un incontournable pour les fans d’Iggy Pop et des Stooges.
Lundi, le 10 octobre à 21h15 au Cineplex Odeon Quartier Latin
The Woman Who Left
Couronné du Lion d’or au Festival de Venise il y a quelques semaines, The Woman Who Left peut sembler austère au premier abord, mais il ne faut pas se laisser rebuter. Le récit porte sur Horacia (Charo Santos-Concio), une femme injustement emprisonnée trente ans auparavant. Alors qu’elle recouvre sa liberté, elle se retrouve, à première vue, dans un monde qui a bien changé depuis son incarcération. Cependant, elle réalisera vite que certaines choses comme l’élitisme et la corruption, ne changent jamais vraiment.
Filmé en noir et blanc et d’une durée de plus de trois heures, The Woman Who Left ne s’annonce pas comme le film le plus léger de la programmation du FNC, mais il représente un genre de cinéma qui est plus rare. D’ailleurs, son réalisateur, Lav Diaz, s’est fait connaître pour ses films contemplatifs. The Woman Who Left est à voir... et à contempler.
Mardi, le 11 octobre à 13h à la salle Jean-Claude Lauzon du pavillon Judith-Jasmin de l’UQAM
Belgica
Deux frères, deux personnalités diamétralement opposées. L’un, Frank (Tom Vermeir), est un père de famille à la vie bien rangée, l’autre, Jo (Stef Aerts), est un célibataire propriétaire du bar le Belgica. Quand les deux frangins décident de s’allier en affaire, le Belgica connait un succès monstre qui dépassera rapidement les attentes de ses propriétaires.
Felix van Groeningen a frappé un grand coup avec son dernier long-métrage, Alabama Monroe, qui a été nommé à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. Si ce dernier vous a captivé, Belgica risque de vous plaire par son dynamisme et sa musique. Le film a d’ailleurs remporté le prix de la mise en scène au Festival du film de Sundance l’hiver dernier.
Mardi, le 11 octobre à 15h au Cineplex Odeon Quartier Latin
Daguerreotype
Le maître des films d’horreur japonais, Kiyoshi Kurosawa, présente son nouveau film, Daguerreotype, qui retrace l’histoire d’un photographe endeuillé (Olivier Gourmet) éprouvant une fascination pour le daguerréotype, un ancien procédé de photographie qui, selon la croyance, renferme l’âme des personnes photographiés. Rapidement, le nouvel assistant (Tahar Rahim) et la fille du photographe (Constance Rousseau) se sentiront en danger sous l’emprise de ce dernier.
Avec des œuvres comme Pulse et Tokyo Sonata, Kurosawa a déjà de fidèles admirateurs qui attendent impatiemment chacun de ses films. Si, comme la plupart de son œuvre, Daguerreotype s’inscrit dans le cinéma de genre, il ne faudrait pas vous priver de le voir même si vous n’êtes pas un amateur du style. Au contraire, Kurosawa est un de ses metteurs en scène qui redonne toutes ses lettres de noblesse à l’horreur et au suspense.
Mercredi, le 12 octobre à 13h au Cineplex Odeon Quartier Latin