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Le Festival des Films du Monde revient avec son patchwork culturel du cinéma d’ici et d’ailleurs. Pour sa 39e édition, l’événement donnera la parole à 31 pays et comptera sur l’Académicien Danny Laferrière comme président d’honneur. Le jury qui l’accompagnera est composé de l'actrice italienne Tea Falco, du réalisateur catalan Ventura Pons, du critique américain Peter Rainer, du directeur adjoint du Festival international de cinéma de Guadalajara, Gerardo Salcedo, et du réalisateur mexicain Luis Urquiza, lauréat du Grand Prix des Amériques et du Prix Glauber-Rocha pour le meilleur film de l'Amérique latine au FFM l'an dernier, avec Obediencia Perfecta, son premier long métrage de fiction.
Ce tour du monde cinématographique mise sur la découverte et le développement de nouveaux talents, et donnera la parole à une série de premiers. Le FFM compte plusieurs volets : la compétition mondiale, la compétition des premières œuvres, hors concours, regard sur les cinémas du monde documentaires du monde, cinéma coréen, hommages, classiques du cinéma, festival du cinéma de la francophonie, festival du film étudiant, cinéma à la belle étoile.
À la veille du lancement de cette 39e édition qui prendra ses quartiers jusqu’au 7 septembre, quelques long-métrages sortent déjà du lot.
Muhammad, de Majid Majidi (Iran)
Avec Mehdi Pakdel, Alireza Shoja Nouri, Mohsen Tanabandeh, Darioush Farhang, Mohammad Asgari, Seyed Sadegh Hatefi, Sareh Bayat, Mina Sadati
Choisi en film d’ouverture, Muhammad revient sur l’enfance du prophète Mahomet.
«Sur les ordres du roi Abraha Habasha, un des commandants de son armée d’Abyssinie (Éthiopie) attaque la Mecque pour détruire la Kaaba. Il est à la tête de milliers de soldats, d’éléphants et de chevaux équipés de tout l’attirail de guerre. Répondant à la volonté divine, rendus aux abords de La Mecque, les éléphants s’immobilisent et refusent de faire un pas de plus. C’est alors que des millions d’oiseaux précipitent sur l’armée des petits cailloux d’enfer qu’ils avaient dans leurs becs et l’anéantissent. Un mois plus tard, Mahomet, prophète de l’Islam, naissait. Ce film décrit à travers le regard de Mahomet, de sa naissance jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de treize ans, l’époque païenne durant laquelle l’oppression, la cruauté et l’injustice régnaient.»
Orage, de Fabrice Camoin (France)
Avec Marina Foïs, Sami Bouajila, Valérie Donzelli, Louis-Do de Lencquesaing, Rasha Bukvic.
Orage est la deuxième adaptation du roman Dix heures et demie du soir en été de Marguerite Duras, paru en 1960.
«Un violent orage bloque Maria et sa famille sur la route des vacances. Ils se réfugient dans une petite ville, près de la frontière espagnole, où la police recherche un homme qui vient de tuer sa femme et son amant. En pleine nuit, Maria se retrouve par hasard face au meurtrier. Croyant échapper à ses propres démons, elle décide de s’enfuir avec lui.»
«Le livre date de 1960 et traite quelque part de la manière différente qu’ont les prolétaires et les bourgeois de se comporter face à l’adultère: les premiers tuent et les deuxièmes réussissent une passation de l’amour sans jalousie, “avec intelligence”. Cette dimension politique du triangle amoureux chez Duras, j’ai eu envie de la transposer sur le personnage de Nabil, qui n’est plus un paysan du coin comme dans le livre mais un ouvrier d’origine maghrébine qui a épousé une Française et qui est condamné à retraverser la Méditerranée, à repartir d’où il vient, d’où il s’est échappé, d’où il a émigré.» -- Fabrice Camoin »
Rider Jack, de This Lüscher (Suisse)
Avec Roeland Wiesnekker, Wolfram Berger, Rebecca Indermaur, Andreas Löffel, Ragna
Un film sur la relation père-fils qui aborde le conflit générationel, sur fond de maladie d’Alzheimer.
«Jack n’a pas vraiment réussi sa vie. Aujourd’hui, il rêve d’un nouveau départ ailleurs. Mais au lieu de cela, sans qu’il s’y attende, il doit prendre soin de son père, Paul, qu’il a toujours détesté, et qu’il n’a pas vu depuis son enfance. Le vieil homme souffre d’Alzheimer et tient à se réconcilier avec son fils. Mais Jack a quelque chose d’autre en tête. Deux univers opposés vont entrer en collision et un voyage dans le canton du Tessin, du côté italien de la Suisse, se transformera en une odyssée vers un passé douloureux et réprimé.»
Mina Walking, de Yosef Baraki (Afghanistan, Canada)
Avec Farzana Nawabi, Hashmatullah Fanaie, Neamatullah, Marina Golbahari, Masoud Fanaie, Safi Fanaie, Mohammad Hasan Attaie
Pour filmer l’intégralité de Mina Walking, le réalisateur canadien s’est retrouvé dans une course contre la montre avec l’intensification des violences talibanes et Afghanistan.
«Bien que les femmes afghanes ne soient plus cantonnées à la maison depuis le départ des Talibans, la déstabilisation du pays après plusieurs années de conflit a bloqué l’accès aux femmes pauvres à l’éducation. Pour Mina, cela veut dire l’impossibilité de travailler pour nourrir sa famille. Elle s’emploie alors à vendre des bibelots de fortune pour aider son grand-père, souffrant d’Alzheimer, et son père, accro à la drogue. Mais Mina veut être une jeune fille normale et elle fréquente l’école en secret, avec tous les dangers que cela comporte.»
Les Chemins de traverse, de Jonathan Gagné (Canada)
Avec Cynthia Vidal, Frédérick Bouffard, Josée Gagnon, Alison Maltais, Brian Coulombe, David Bouchard, Gabriel-Antoine Roy
Filmé entièrement au Saguenay-Lac-Saint-Jean, Les Chemins de traverse est le premier film du réalisateur Jonathan Gagné, également le premier film produit par l'entreprise régionale ZED Productions.
«Catherine, une jeune femme ayant fui son mariage à la toute dernière minute, nous entraîne avec elle dans ses souvenirs afin de comprendre ce qui l’a incitée à poser ce geste impulsif. C'est ainsi que progressivement, nous comprenons pourquoi Catherine est une personne brisée. Elle qui a grandi avec un père indigne de ce nom et qui a été trahie par le premier amour de sa vie devra essayer de devenir une femme solide au niveau émotif. Mais en sera-t-elle capable? »
The Girl King, de Mika Kaurismäki (Finlande)
Avec Malin Buska, Sarah Gadon , François Arnaud, Michael Nyqvist , Lucas Bryant, et Laura Birn
Intégré à la dernière minute à la programmation, ce long-métrage est une œuvre internationale mise en scène d’après le scénario du Québécois Michel-Marc Bouchard, créé pour le théâtre sur la vie de Christine de Suède.
«Nous sommes au XVIIe siècle et la reine Christine entend bien faire de la Suède le pays le plus moderne d’Europe. Élevée comme un garçon sous un strict contrôle luthérien, cette souveraine énigmatique, flamboyante et imprévisible fait face à une forte résistance dans son désir d’éduquer ses sujets et de mettre fin à la sanglante guerre de Trente Ans entre les protestants et les catholiques. Christine a du mal à vivre avec son irrésistible passion pour sa dame d'honneur, la superbe comtesse Ebba Sparre. Sa découverte de l'amour et de la passion va de pair avec sa quête de comprendre l'humanité et les forces violentes qui conspirent contre elle. Déchirée entre ses aspirations politiques et personnelles, elle choisit de prendre l'une des décisions les plus controversées de l'Histoire.»
Découvrez tous les films présentés au Festival des Films du Monde de Montréal : http://www.ffm-montreal.org/.
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