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Après le succès de Ce qu’il en reste, présenté à l’Usine C en octobre 2005, et une nomination à titre de finaliste en danse au Grand Prix du Conseil des Arts de Montréal, Louise Bédard, chorégraphe à l’imaginaire débridé, nous revient avec une nouvelle création où rien n’est tout à fait ce que l’on voit dans cet univers aux multiples couches qui s’inspire de la peinture. Elle met en mouvement des êtres qui jonglent avec leur part d’ombre et celle de lumière et nous propose des mondes qui frôlent le tragique, embrassent le drôle et le désopilant, tout en étant toujours neufs, toujours étonnants.
« L’impression d’avoir assisté à un tourbillon urbain, relationnel et social, avec une ambiance incomparable. » Aline Apostolska, La Presse, 28 octobre 2005
Danse, vidéo et musique live...
Un peu de contexte
Il est grand le mystère de l’être humain. On peut l’habiller, on peut le dénuder, mais il y a de ces choses que l’on ne masque jamais, de ces choses que l’on ne dévoile jamais.
Avec cette nouvelle œuvre de danse, Louise Bédard navigue dans le méandre du parcours de nos existences, entre les deux rives qui balisent le cours de nos vies. Quelque part entre la dissimulation et la révélation des facettes intimes des individus.
Au cours des dernières années, pour plusieurs de ses créations, Louise Bédard a souvent puisé son inspiration dans la vie et l’œuvre d’artistes visuels issus d’autres cultures. Ce fut notamment le cas pour le duo Elles (2002), avec la photographe italo-mexicaine Tina Modotti, et pour le sextuor Ce qu’il en reste (2005), avec la collagiste allemande Hannah Höch. Ces deux productions ont également donné lieu à des expositions connexes, organisées par la compagnie et présentant des oeuvres de Tina Modotti et de Hannah Höch. Si l’art de ces artistes a représenté le point de départ pour la création, il reste que le thème récurrent a toujours été l’être humain, son rapport aux autres, à la société, à la nature même.
Pour sa nouvelle création, Louise Bédard utilise comme tremplin le travail de la peintre canadienne d’origine hongroise Marianna Gartner, qu’elle a d’abord découverte dans Le livre d’image d’Alberto Manguel. Gartner s’inspire souvent de photos d’archives pour créer avec sa peinture des portraits hyperréalistes. Au premier coup d’oeil, les personnages paraissent normaux, conventionnels, mais on remarque ensuite des détails qui laissent entrevoir un autre univers, d’autres couches plus complexes. Les êtres se dévoilent progressivement dans leur singularité, au milieu du réseau de leurs contradictions.
Après le succès de Ce qu’il en reste, Louise Bédard gratte à nouveau le vernis qui recouvre les relations humaines. Pour dépeindre cet univers où rien n’est tout à fait ce que l’on voit, elle s’est entourée de créateurs hors pairs. Elle a donné rendez-vous à Diane Labrosse (musique sur scène), Angelo Barsetti (costumes et maquillage), David Fafard (vidéo remixée en direct), Bruno Rafie (lumières) et Geneviève Lizotte (scénographie) pour transposer à la scène des mondes parfois tragiques, souvent drôles ou désopilant, mais toujours neufs, toujours étonnants.
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