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La Semaine de la critique de Montréal verra le jour pour sa première édition du 13 au 19 janvier 2025. L'événement a annoncé sa programmation qui prendra place à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma Moderne. Celle-ci se compose d'une sélection de 19 films de courts, moyens et longs métrages.
Au cours de la semaine, une variété de séances seront proposées, chacune suivie d’une conversation entre cinéastes, auteurs et auteures, critiques, et le public. Le festival se veut non compétitif et vise plutôt à mettre en lumière de nouveaux talents grâce à des programmes composés de deux ou trois films.
La première Semaine de la critique de Montréal débutera avec trois films pour la soirée d’ouverture le 13 janvier à la Cinémathèque québécoise. Le public pourra ainsi découvrir Twilight de Park Sye-young (Corée du Sud, 17 minutes), Un homme imaginé de Melanie Shatzky et Brian M. Cassidy (Canada, 62 minutes) et Two Cuckolds Go Swimming de Winston DeGiobbi (Canada, 82 minutes).
Le lendemain, le programme Chronique d’une mort annoncée traitera des attentes envers la mort. La Cinémathèque québécoise présentera trois films sur ce thème : Super Happy Forever de Kohei Igarashi (Japon/France, 94 minutes), Louis Riel, ou Le ciel touche la terre de Matias Meyer (Canada, 83 minutes), ainsi que Now He Is in the Truth de Roberto Tarazona (Cuba, 11 minutes).
Le 15 janvier, au Cinéma Moderne, Albums de famille présentera trois approches différentes de la construction du souvenir à l’écran. Il sera possible de voir Lost Chapters de Lorena Alvarado (Vénézuela/États-Unis, 67 minutes), Merman de Ana Lungu (Roumanie, 85 minutes) et UNDR. de Kamal Aljafari (Palestine/Allemagne, 15 minutes).
La soirée du 16 janvier mettra en évidence la nature morte à travers deux films : Base Station de Park Sye-young et Yeon Ye-ji (Corée du Sud, 67 minutes) et Sept promenades avec Mark Brown de Pierre Creton et Vincent Barré (France, 104 minutes).
Le 17 janvier marquera le retour d'un programme triple. Celui-ci sera consacré aux traditions disparues, entre poésie, danse et baseball. Le public pourra voir au Cinéma Moderne Taman-Taman (Park) de So Yo-Hen (Taïwan, 100 minutes), Let The Red Moon Burn de Ralitsa Doncheva (Québec/Bulgarie, 7 minutes), de même que Eephus de Carson Lund (États-Unis, 98 minutes).
L'avant-dernière journée de la Semaine de la critique de Montréal invitera les spectateurs et spectatrices à explorer la résistance quotidienne, entre douceur et éclats de colère, enracinement au territoire et quête de dignité. Les trois films qui seront diffusés sont Fujiyama Cotton, réalisé par Taku Aoyagi (Japon, 95 minutes), Mémoire fertile, réalisé par Michel Khleifi (Palestine/Belgique, 99 minutes) et Spiders Web, réalisé par Frank Dunsten, Ben et Oliver Roberts (Canada, 65 minutes).
La soirée de clôture, prévue le 19 janvier à la Cinémathèque québécoise, mettra en vedette deux derniers films, à savoir Une langue universelle de Matthew Rankin (Canada, 89 minutes), qui avait été présenté en ouverture du FNC cette année, ainsi que A Shrine de Abdolreza Kahani (Canada/Iran/France, 84 minutes).
La liste complète des participants et participantes aux discussions sera dévoilée le 6 janvier 2025. Pour plus d’informations et pour acheter des billets, c’est par ici.