Profitez d'invitations gratuites et de rabais exceptionnels!
Vous êtes un passionné de spectacles...
Vous aimez faire découvrir à votre entourage des nouveautés ou des artistes...
Profitez d'invitations gratuites et de rabais exceptionnels!
Vous êtes un passionné de spectacles...
Vous aimez faire découvrir à votre entourage des nouveautés ou des artistes...
Inscrivez-vous maintenant, c'est gratuit!
Le Carrefour des Arts de la Scène et de l’Entrepreneuriat (CASE), mis en place pour aider les artistes et travailleurs culturels à se lancer et à évoluer dans l’industrie, s’apprête à débuter une nouvelle session dès le 26 février prochain. Ce centre de formation offre une structure et de précieux outils pour que la passion devienne une profession, et le rêve, une réalité. atuvu.ca a rencontré la comédienne et productrice Nelly Esméralda Zarfi qui a suivi les formations du CASE, afin d’en savoir plus sur son expérience et les bénéfices qu’elle en a tirés.
Deux fois par an, le CASE propose les sessions « Représentation et production artistique » et « Se lancer à son compte dans l’industrie culturelle ». Nelly Esméralda Zarfi a eu la chance de suivre l’une puis l’autre successivement en 2018, elle était donc la personne toute désignée pour en parler! Son histoire est simple : après avoir entendu parler du CASE à deux reprises, la première fois par le biais d’un ami auteur-compositeur, puis la seconde fois en découvrant une annonce sur le site Artère, elle a fait le grand saut : « J’étais comédienne en plus d’avoir commencé une maîtrise en Management des entreprises culturelles, que j’ai arrêtée en cours de route car elle ne répondait pas à mes besoins. Elle formait des gestionnaires, mais je voulais gérer ma propre carrière, pas celle des autres. Je partais de zéro et j’avais besoin de quelque chose de concret pour savoir comment développer mon propre projet artistique. Une discussion avec Hubert [Mansion, ndlr] m’a permis d’en savoir plus, et j’ai eu envie de me lancer. »
L’hiver dernier, Nelly a donc commencé par suivre le cours de « Représentation et production artistique ». Celui-ci aborde évidemment des aspects didactiques tels que « Qu’est-ce qu’un contrat ? » ou encore « Comment faire de l’argent avec son projet artistique ? », mais aussi plus introspectifs avec une profonde réflexion sur son identité, notamment en tant qu’artiste. C’est l’ex-avocat en droit des artistes et de la propriété intellectuelle, Hubert Mansion, qui aide ses élèves à acquérir des outils techniques tout en faisant le cheminement vers la compréhension de soi et de ses attentes sur le plan culturel.
Très contente de sa première expérience, la comédienne et productrice a alors réitéré l’aventure en suivant cette fois le cours de Pierre Pagé, l’homme aux mille chapeaux. Ce dernier a notamment été directeur de tournée, agent d’artistes et producteur délégué d’une maison de disques et de production de spectacles. La formation qu’il donne au CASE est, elle, axée autour du thème « Se lancer à son compte dans l’industrie culturelle ». L’objectif principal est d’y apprendre à monter un plan d’affaires viable pour son projet, de l’idéation jusqu’à la concrétisation. Il comprend différentes étapes – par exemple, la réalisation du dossier de présentation ou encore la façon d’approcher les futurs partenaires. En plus d’une journée de cours par semaine avec les autres participants, la formation offre la chance à l'élève d’avoir un rendez-vous hebdomadaire personnalisé avec son professeur pour avancer petit à petit dans la mise en place de son plan, tout en lui donnant structure et rigueur.
Ce que Nelly retient de tout ça ? L’efficacité indiscutable et redoutable de ses deux formateurs. « Chaque inscrit avait, à la base, un niveau différent dans son avancement culturel. Quoi qu’il en soit, je vois des changements drastiques, de vraies success stories en développement pour les gens qui étaient dans ma cohorte », se plaît-elle à nous raconter. Très enthousiaste, Nelly n’hésite pas à recommander fortement de s’y inscrire : « Je dirais à un futur participant de le faire avec sérieux et assiduité, de ne pas hésiter à aller creuser plus en profondeur certains des sujets abordés, et de pousser plus loin ses réflexions au-delà de la formation. Je lui conseillerais, en fait, d’avoir l’esprit ouvert au changement et d’être prêt à être secoué dans ses fondements et à revoir ses façons de faire. »
Une dernière bonne raison de vous inscrire? Cela ne vous coûtera rien de plus que 40$ qui correspondent aux frais d'inscription. Oui, oui, 40$ et rien de plus! Alors, si vous êtes convaincu.e que le CASE est l’opportunité que vous attendiez pour mener efficacement à bien votre projet artistique cette année, n’attendez plus et soumettez votre candidature sur leur site en cliquant ici.