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La Ville de Montréal a dévoilé les cinq œuvres finalistes du Grand Prix du livre de Montréal. Il s’agit de Mood swings de Frankie Barnet, Wollstonecraft de Sarah Berthiaume, Roman sans rien d’Antoine Charbonneau-Demers, Le compte est bon de Louis-Daniel Godin ainsi qu’Autoportrait d'une autre d’Élise Turcotte.
Le Grand Prix du livre de Montréal souhaite promouvoir l'excellence en littérature et souligner le dynamisme du milieu de l'édition de la région. Un des finalistes gagnera une bourse de 15 000 $ offerte par la Ville de Montréal pour la grande originalité de son œuvre. Les quatre autres finalistes recevront un montant de 1 000 $.
Pour la troisième fois cette année, les membres du jury sont Carole David, Daniel Grenier, Marie-Pascale Huglo, Josianne Létourneau, Luba Markovskaia et Akos Verboczy. Le livre gagnant sera annoncé le 11 décembre prochain.
Dans un monde préapocalyptique, une jeune poète sur Instagram entame une relation avec un milliardaire californien qui lui promet une machine à remonter le temps. Ce roman, à la fois intelligent et comique, suit Jenlena et sa meilleure amie Daphné, deux diplômées en sciences humaines, dans une société où tous les animaux ont été éradiqués pour la sécurité humaine.
Jenlena passe d'une poète à une vendeuse de plantes d'intérieur en remplacement des animaux de compagnie, tandis que Daphné sombre dans la dépression. Jenlena prend alors conscience que le monde est bien différent que ce qu’elle pensait. Il s’agit du premier roman de l’auteur Frankie Barnet.
Le dernier roman que Marie a écrit a provoqué de la colère chez ses modèles féministes, la laissant épuisée et incapable d'écrire. Après avoir subi plusieurs fausses couches, elle suit des conseils de télémédecine et décide de conserver ses fœtus au congélateur pour les soumettre à des tests.
Pendant ce temps, son compagnon Perceval coécrit des poèmes avec un algorithme qu'il a développé, tandis que son amie Claire, ancienne comédienne, est maintenant une excellente vendeuse de Tupperware. Une nuit pluvieuse de novembre, Marie a une idée sinistre qui va tout changer.
À la fois journal intime et roman, cette œuvre navigue habilement entre ces deux formes littéraires, offrant un portrait à la fois cynique et touchant de la sexualité gaie, de l'égoïsme, de la jalousie et des dynamiques familiales. Révélant les réalités de notre société moderne, la violence constitue le fil conducteur de ce roman qui est empreint d'une grande vulnérabilité.
Cette œuvre est divisée en deux parties, débute avec un récit autobiographique de la vie de l’auteur en passant de ses voyages à la rencontre de ses amants. La suite est en quelque sorte une réponse à la première partie du roman.
L’enfant intègre sa famille à l’âge de cinq jours. Rapidement, il est préoccupé par l’amour et l’argent. Lorsqu’on est adopté, a-t-on une dette envers quelqu’un ? Il commence alors à compter ses pertes et ses gains : un chocolat volé, un billet de vingt dollars retiré, un prix gagné à un jeu télévisé...
Mais comment trouver un équilibre? Comment se retrouver soi-même quand il y a un vide entre les souvenirs d’enfance et la réalité, entre son milieu d’origine et ses nouvelles passions? Comment remplir ce vide que représentent les cinq premiers jours de sa vie, où l’on se trouvait entre deux identités?
Une autrice s'engage dans une quête pour découvrir la vie de sa tante, décédée tragiquement une dizaine d’années auparavant. À travers cette femme au parcours unique, qui a laissé peu de traces écrites, elle entame un dialogue sur plusieurs thèmes, dont l'art, la folie, l'exil, la réflexion et la mort de façon poétique.
Élise Turcotte explore les liens entre la tristesse et la création, en se tournant vers celles qui sont venues avant nous. Elle se pose des questions sur les leçons qu'elles nous transmettent sur nous-mêmes et sur les possibilités qu'elles ouvrent à notre imagination. En effet, toutes les histoires, même celles qui sont réelles, sont des fictions.
Pour plus d'informations sur le Grand Prix du livre de Montréal, il faut consulter le lien suivant.