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Avant 2024, cette compagnie portait le nom de Ballet Ouest de Montréal ; dorénavant, vous les reconnaîtrez sous l’appellation BO Montréal.
La création de cet organisme à but non lucratif remonte à 1984. Pendant ces 40 années, la compagnie de danse a présenté des ballets de répertoire et des œuvres originales fondés sur la danse classique permettant de voir évoluer sur scène une pléthore d’artistes en création et évidemment, de danseuses et de danseurs.
40 est un titre tout à fait approprié pour souligner un 40e anniversaire. Par ce programme triple, BO Montréal veut rendre hommage au passé de la compagnie, tout en se projetant vers une nouvelle vision artistique. D’après ce montage d’extraits, ça s’annonce magnifique !
Les trois pièces présentées sont les suivantes :
Breadth, un ballet néo-classique pour quatre ballerines et un danseur, chorégraphié par Kunal Ranchod, récemment diplômé de l'École supérieure de ballet du Québec et créateur de plusieurs chorégraphies, entre autres pour The National Ballet of Canada, Radio-Canada, Ballet Kelowna, Ballet Ouest de Montréal… En 2017, il a fondé sa propre compagnie de danse : Compagnie Kunal Ranchod.
Flammes de Paris, un pas de deux du répertoire classique russe, basé sur des chansons de la Révolution française, et dont la chorégraphie originelle est de Vassili Vainonen.
Le lac où les cygnes se baignent, une adaptation créative de Claude Caron, directeur artistique de BO, avec dix danseurs et danseuses.
J’ai d’ailleurs demandé à Claude Caron, directeur artistique et chorégraphe, de m’expliquer ce qu’il a voulu démontrer avec cette adaptation du Lac des Cygnes, une œuvre si connue du monde du ballet classique. Voici sa réponse :
« L’idée du Lac où les cygnes se baignent est née de mon désir de raconter à nouveau l’histoire du Lac des cygnes, mais d’une manière qui soit accessible à une plus petite scène et à une plus petite production. Cela a permis de jeter un regard nouveau sur ce grand classique. Lorsqu’on s’attaque à un projet comme le Lac des Cygnes, c’est une œuvre qui est de 2 h 45, c’est énorme. J’ai dû vraiment essayer, au tout début, de reconstruire l’histoire. J’ai déconstruit l’histoire pour la reconstruire d’une façon différente.
Ce que je voulais, c’est d’intéresser le spectateur à voir ce qui se passait derrière la scène. Comment un chorégraphe et une compagnie de ballet et ses artistes arrivent à une production telle que le Lac des Cygnes. Donc, j’ai créé deux mondes, un monde imaginaire et un monde réel. On est dans la tête du chorégraphe. On suit le chorégraphe le long de son cheminement artistique en train de créer et monter le Lac des Cygnes. Ça m’a ouvert beaucoup d’opportunités, beaucoup de façons de présenter certaines scènes. En conservant le prestige et la beauté de l’œuvre originale, tout en y ajoutant la chaleur et l’humour de la vie réelle. »
Voici où sera présenté 40, ce spectacle de 90 minutes, incluant un entracte :
Le 11 février à 19 h, à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau à Montréal (tarifs : 26 $, 34 $ et 44 $)
Le 17 février à 19 h 30, à la salle Alphonse-Desjardins à Rivière-du-Loup (tarifs : 10 $, 32 $ et 40 $)
Le 29 février à 20 h, au Théâtre Lionel Groulx à Sainte-Thérèse (tarifs : 25 $ à 38 $)
Le 1er mars à 20 h, à la salle Pauline Julien à Sainte-Geneviève (tarif : 44 $). Notez que dès 19 h 15, vous pouvez assister à un apéro-danse ; le spectacle sera suivi d’une rencontre avec les interprètes.
Pour informations sur le BO Montréal, là où la danse est en pleine évolution, consultez leur site web : www.balletouest.com