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En écho au titre de son nouvel album, Le Partage, la sensibilité et l’humanité de Zal Sissokho résonnent sur les cordes de sa kora, comme si celle-ci ne faisait qu’un avec le généreux griot. Ensorcelant.
L'un de ses ancêtres fut le premier joueur de kora de l’histoire et son frère, Younoussa fut, dans les années 1980, le premier griot à venir s’installer au Québec. Au Sénégal, la famille des Sissokho est l’une des plus importantes représentantes des griots, ceux qui transmettent oralement l’histoire du peuple mandingue depuis des siècles. Bref, Zal Sissokho était prédestiné à chanter et à jouer de la kora.
Né au Sénégal, il joue de la musique depuis ses 11 ans. Très tôt également, il chante et compose en mandingue et en wolof des chansons inspirées du répertoire ouest-africain. Il perfectionne sa pratique de la kora sous la férule d'un des maîtres de l'instrument, Toumani Kouyaté, puis accompagne l'auteur-compositeur sénégalais El Hadj N’Diaye.
Il embarque pour le Québec à la fin des années 1990 et y joue notamment avec les Frères Diouf, Richard Séguin, le Montréal Jubilation Choir, Corneille, Monica Freire, Lilison, IKS, Muna Mingolé, Alpha Yaya Diallo... Il fait sonner son instrument également pour des musiques de films dont Un dimanche à Kigali de Robert Favreau. À Las Vegas, il participe au spectacle « O » du Cirque du Soleil.
En 2004, il fonde son propre groupe, nommé Buntalo. Il s'entoure pour cela de musiciens montréalais originaires d'Afrique de l'Ouest : Aboulaye Koné à la guitare, David Mobio au clavier, Manu Pelé à la basse et Thomas Niamke Ehui à la batterie. Leur répertoire est composé de créations originales de Zal Sissokho et de Manu Pelé, ainsi que de pièces classiques mandingues, qu'il chante en malinké et en wolof. Une large palette permettant de faire cohabiter tradition et modernité.
En 2007, plusieurs de ses chansons apparaissent sur la compilation du festival international Nuits d’Afrique. Un avant-goût prometteur d’un album complet qui ne tardera pas.
En février 2008, Zal bénéficie d’une belle reconnaissance : il reçoit le prix OQAJ-Rideau des Amériques décerné pour l’excellence de sa performance, la générosité de sa présence sur scène et pour la beauté de ses métissages musicaux. Il sort son premier album, tant attendu, dans la foulée. Il s’intitule Silaba (La grande route). Cet hommage aux ancêtres présente son inestimable héritage musical et retrace la « grande route » que Zal a parcourue depuis ses débuts au Sénégal.
En 2012, sort le deuxième album de Zal Sissokho, toujours accompagné des membres de Buntalo, mais aussi par des collaborateurs exceptionnels tels que Tapa Diarra, Fabrice Koffi ou Karim Diouf. Il s’intitule Le Partage, le mot d’ordre de ce joueur de kora généreux et talentueux.
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