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Série Grands Événements du Festival!
Sergent Garcia est l’inventeur de son propre genre musical, la salsamuffin: un savant mix de groove latinos et urbains et un propos souvent engagé. Ce rebelle dans l’âme est aujourd’hui reconnu comme une star internationale, sans barrière ni frontière.
Après douze ans de carrière et cinq albums studios, le Sergent Garcia n’a plus besoin d’être présenté. L’inventeur de la salsamuffin a réussi à s’imposer dans le monde la musique latino. Après quelques détours… En 1983, Bruno Garcia commence sa carrière de guitariste dans le punk rock au sein du groupe Ludwig Von 88. Sans aucun doute, il garde de cette expérience une tendance à dynamiter tout ce qui peut ressembler à des conventions et une énergie sans faille. Mais rapidement, ses origines espagnoles le titillent et il ne peut s’empêcher de travailler en parallèle sur des sons mêlant reggae et rythmes latinos. En 1996, il apparaît sur Tchatche Attack, compilation ragga sur laquelle se trouve Salsamania, premier titre officiel du Sergent. L’année suivante sort son premier album, autoproduit, Viva el Sargento. Il s’associe alors au groupe Los Locos del Barrio (les Fous du quartier) pour plonger tout entier dans sa deuxième carrière. En 1999, sort Un Poquito Quema’o.
Le succès de Sergent Garcia explose, dans le monde entier, comme l’attestent ses centaines de concerts durant plusieurs mois d’affilée après la sortie du CD. Malgré ce marathon, Sin Fronteras voit le jour en 2001. Dans ce nouvel opus, Sergent Garcia continue son exploration des musiques des Caraïbes, tout en y mélangeant des sonorités plus africaines. C’est ainsi qu’il enregistre avec le duo malien Amadou et Mariam sur le titre Seremos. Là encore, la tournée qui suit mène le groupe sur les routes durant plusieurs mois.
Deux ans plus tard, sort le quatrième album : La Semilla Escondida. Concocté et enregistré en Jamaïque et à Cuba, afin de se plonger dans ses inspirations, il est suivi d’un Best Of en 2004 puis d’une grande tournée en 2005. Il faut attendre 2006 pour l’album suivant, le dernier en date : Máscaras. Il est enregistré au Mexique avec le soutien de Toy Hernandez. Ancien mentor du groupe de rap mexicain Control Machete, ce producteur connaît parfaitement les rythmes traditionnels de son pays, comme la cumbia. « Toy sait comment intégrer le son de l’accordéon d’un orchestre de rue et le convertir en riddims purement électroniques », explique Bruno Garcia. Au final, le son est plus urbain que sur les albums précédents, mêlant les différentes influences reçues durant les tournées dans le monde entier, sans perdre pour autant la saveur des instruments traditionnels. « L’album est né d’une envie de construire un pont entre toutes les expériences que nous avions tentées dans les albums précédents ». Pari tenu !
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